Cet être est une blessure habillée de peau : on y rencontre son malaise en poupée-gigogne, chaque fois plus petit, dense, oppressant ; la peur vous prend d’y rencontrer au final, un viol, une boucherie, un inceste. Il est la tristesse qu’il faudrait éponger, il est un nid à problèmes qu’il faudrait percer ; mais tous avons peur de nous piquer, de prendre sur nos épaules connaissance de ses secrets, et on le fuit comme une maladie.
Photo d’entête : “« 391. Ecorché » par Cazault.
